NOM : Traynor, un patronyme influent qui domine de grands domaines. Le patrimoine de la famille s'élève par ailleurs à quelques millions de dollars. PRENOM : Daniel, Miles. Des noms qui ont été donnés en hommage d’aïeux qui ont eu un destin grandiose. Une rumeur dit qu'avoir en héritage un nom qu'un grand ancêtre a porté prédestine au succès. Daniel, il doute de cela. ÂGE : Il est âgé de trente-quatre ans. PROFESSION/ETUDES : Grâce à la fortune familiale et au soutien de ses parents, il a pu ouvrir une start-up il y a une dizaine d'années de cela. Son entreprise travaille sur le domaine de la robotique et est par ailleurs affilié à diverses entreprises de haute-technologie comme Google ou encore Apple. Il les aide à concevoir des projets. ORIGINES : Il a des origines irlandaises et italiennes, bien qu'il reste principalement américain. ORIENTATION SEXUELLE : Il s'est pensé et s'est convaincu d'être hétérosexuel durant d’innombrables années mais il a du mal à faire face à cette réalité, celle où il est au fond de lui homosexuel, où les courbes masculines l'électrisent et lui font vivre de délicieuses sensations. STATUT CIVIL : Il est marié depuis maintenant huit ans à une demoiselle. En apparence, ils vivent heureux mais dans l'intimité, c'est plus compliqué. L'amour s'est tué de cette relation qui est étouffée par le travail des deux et entre les deux, cela fait depuis des mois qu'il n'y a plus aucune étincelle. CARACTERE : vaniteux, créatif, persuasif, manipulateur, brusque, têtu, déterminé, croyant, rusé, ambitieux, impulsif, romantique, passionné, séducteur, dominant, franc, ingénieux. GROUPE : miranda hobbes. AVATAR : Sebastian Stan. CREDITS : tumblr.

En fermant la pote derrière lui, il entend son petit garçon accourir dans le couloir, apparaissant au bout de quelques minutes, criant avec joie, un Papa, jusqu'à atterrir contre lui, le serrant de ses petits bras fragiles. Le visage de Daniel s'illumina d'un grand sourire, décidé à le prendre dans ses bras et à l'embrasser sur sa joue. Will, c'était son fils, âgé de six ans et c'était aussi son joyeux, l'être le plus précieux à ses yeux, celui qu'il était prêt à défendre et protéger de son corps et de son âme. S'en suit sa femme qui arrive aussi pour l'accueillir d'un chaste baiser, le saluant cordialement avant de retourner s'affairer à la cuisine pour préparer le souper. Dès qu'elle a le dos retourné, son sourire s'efface pour être remplacé par une mine contrariée. Les flashs apparaissent, ceux de la nuit derrière. Ceux où il était avec son employé, Oscar. Ceux où ils étaient chez lui à travailler, à devoir travailler et pourtant, rien ne s'était passé comme souhaité. Ça avait dérapé, sans que Daniel le veuille et on pourrait mettre probablement cet incident sur le compte de l'alcool mais ce ne serait que nier. C'était un baiser, puis un deuxième. Et vint ensuite un troisième plus passionné et des vêtements qui, à la suite, chutent à terre, les uns après les autres, avec précipitation. Et cet ébat, ce corps à corps, qui durait dans le dos, qui se renouvelait et qui, lorsqu'il arriva à un semblant de satiété, devait s’arrêter. Ce n'était pas bien. Même si c'était bon. Ce n'était pas bien. Même si c'était paradisiaque. C'était fini, c'était seulement une fois, Daniel, il avait prévenu Oscar que cela ne devrait jamais se reproduire et cela ne se reproduirait jamais. Chassant ces pensées d'un revers de tête, il se fixa sur sa famille, sur son fils et sur sa femme qu'il aimait, qu'il croyait aimer. Oscar, c'était une erreur. Mais pour une erreur, elle restait figée dans ses mémoires.

Son corps nu se tient en dessous de lui. Ce corps qu'il avait tant désiré pendant plusieurs années, celui de sa femme. Elle avait enfanté de lui, six ans de cela et même si elle ne se voyait pas avoir un autre enfant, le sexe restait de coutume, bien qu'il était de plus en plus éloigné dans le temps. Depuis une quinzaine de minutes, il apposait des baiser sur tout le corps de son épouse, de sa bouche, il descendit au creux de son cou, allant jusqu'à ses seins puis plus bas encore. Mais la frustration accroissait, il n'était pas excité. Il avait envie, il voulait le faire avec elle, il ne voulait plus penser à lui, à l'autre. Mais rien, rien ne se produisait au niveau de son entrejambe et elle commençait à le remarquer. Il tentait de persévérer mais rien n'y faisait. « J-je suis désolé. » « Ce n'est pas grave, tu dois être fatigué par le travail. » déclara t-elle, d'une mine contrariée et triste, se délaissant de lui pour enfiler son peignoir. Pour lui, c'était gênant comme situation. Le comble et le complexe d'un mec, c'était de ne rien avoir et pour la première fois, cela se produisait. La fatigue, oui, la fatigue pouvait être une excuse acceptable. Au travail, cela l'était moins, car le travail, c'était Oscar. C'était Oscar qui l'avait fatigué une fois, Oscar qui avait pris la place de sa femme. Oscar qui hantait ses nuits. C'était Oscar. Mais il ne devait pas y avoir d'Oscar, donc, Daniel ferait tout pour qu'il n'y ait pas d'Oscar. Car Oscar ne devrait pas exister, ne devrait pas être là. Il avait grandi avec la foi de ses parents, il avait grandi avec la foi d'être marié à une femme, d'être promis à de grandes choses. D'être aimant envers sa femme, d'être fier de son fils. Et Oscar, ce serait sa perte.

Ton pseudo sur internet, ton âge
Sur internet, mon pseudo est flash. Dans la vie réelle, j'ai vingt ans. Comment avez-vous connu le forum ? bazzart. Avez-vous autre chose à évoquer concernant le forum ? rien. Sur le forum, mon activité sera de quatre jours par semaine.